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2,476 Research products, page 1 of 248
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- Publication . Article . Other literature type . 2021FrenchAuthors:Idot, Laurence;Idot, Laurence;Publisher: HAL CCSDCountry: France
International audience
- Publication . Other literature type . Part of book or chapter of book . 2021FrenchAuthors:George, Rouamba;George, Rouamba;Publisher: HAL CCSD
Que nous révèle la forte mortalité des personnes âgées de plus de 60 ans sur les valeurs du système de santé du Burkina Faso ?À partir de données ethnographiques collectées dans le service de cardiologie du Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouédraogo(CHU-YO) au Burkina Faso et une enquête mixte réalisée au cours de la pandémie de la COVID-19, cet article se propose de discuter des valeurs et des principes censés caractériser le système de santé. Cette discussion interroge en miroir la place de la personne vieillissante dans l’offre de soins de manière générale dans un système de santé dont les cultures professionnelles sont structurées autour de la santé de la mère et de l’enfant. Paradoxalement sur le plan politique, tout en reconnaissant la vulnérabilité des plus âgés, très peu d’actions spécifiques sont orientées à leur endroit. Toutefois, pour les besoins de recherche sur la COVID-19,les personnes âgées deviennent des cas intéressants qui mobilisent la recherche clinique. L’éthique des soins interroge en définitive les responsabilités des différents acteurs dans une perspectivede repenser la santé comme un bien commun.Mots clés : mortalité ; personne âgée ; éthique ; bien commun ;responsabilité ; Burkina Faso. What does the high mortality of people over 60 years of age tell us about the values of the health system in Burkina Faso? Based on ethnographic data collected in the cardiology department of the Universitary Hospital Yalgado Ouédraogo (CHU-YO) in BurkinaFaso and a mixed survey carried out during the COVID-19 pandemic, this article proposes to discuss the values and principlesthat are supposed to characterize the health system. This discussion questions the place of the ageing person in the provision ofcare in a general way in a health system whose professional cultures are structured around the health of the mother and child. Paradoxically,at the political level, while recognizing the vulnerability of the elderly, very few specific actions are directed towards them.However, for the purposes of research on COVID-19, the elderly become interesting cases that mobilize clinical research. The ethicsof care ultimately questions the responsibilities of the different actors in a perspective of rethinking health as a common good.Keywords: mortality; elderly; ethics; common good; responsibility; Burkina Faso.
- Publication . Part of book or chapter of book . 2021FrenchAuthors:Sylvie Ayimpam; Michel Bisa Kibul; Jacky Bouju; André Lisongomi Batibonda;Sylvie Ayimpam; Michel Bisa Kibul; Jacky Bouju; André Lisongomi Batibonda;Publisher: HAL CCSDCountry: France
International audience; Cette contribution a pour objet les pouvoirs publics en action dans le contexte de la pandémie de COVID-19 en Afrique. Les mesures de lutte contre la propagation de la pandémie ont provoqué un choc économique majeur partout dans le monde, avec une crise dont les effets risquent de se faire sentir encore pendant très longtemps. Il s’agit concrètement d’interroger la manière dont différents acteurs étatiques (ou non étatiques) se sont emparés des problèmes liés à la crise sanitaire et à ses conséquences économiques, les ont définis comme publics et la manière dont ils ont agi pour y répondre. En s’inscrivant dans la perspective des travaux sur l’action publique en Afrique, qui envisagent les rapports entre les différents acteurs dans la définition et la mise en place de réponses à des problèmes publics ou collectifs, l’objectif est de mettre en lumière les formes spécifiques d’actions publiques menées dans le contexte de la crise sanitaire au Congo qui, comme dans les autres contextes africains, sont généralement porteuses de dynamiques sociales et politiques originales. Les réponses formulées par les pouvoirs publics aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire seront analysées, pendant la période de l’état d’urgence sanitaire décrété lors de la première vague de la pandémie de COVID-19, du mois de mars au mois de juillet 2020. Un regard particulier sera également porté sur les réponses apportées à l’économie informelle, dont les travailleurs sont généralement caractérisés par une précarité et une vulnérabilité socioéconomiques très marquées.
- Publication . Article . 2021FrenchAuthors:Verpeaux, Michel;Verpeaux, Michel;Publisher: HAL CCSDCountry: France
International audience
- Publication . Preprint . 2021FrenchAuthors:Mondello, Gérard;Mondello, Gérard;Publisher: HAL CCSDCountry: France
La pandémie de Covid-19 a bouleversé non seulement l'économie de la plupart des pays, mais aussi le domaine scientifique médical. Les opinions publiques se sont immiscées dans les choix des essais thérapeutiques comme le montrent les controverses autour des protocoles utilisant l'hydroxychloroquine. Le choix du public pour ces traitements est expliqué comme l'application d'un "pari de Pascal". Cet article analyse la formation du système de croyance des individus en appliquant la théorie de l'ambiguïté et la théorie de l'entropie d'information. Il montre que les choix du public sont le fruit de stratégies communication choisies par les promoteurs de tel ou tel traitement.
- Publication . Article . 2021FrenchAuthors:Anna C. Zielinska;Anna C. Zielinska;Publisher: HAL CCSD
International audience
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You have already added works in your ORCID record related to the merged Research product. - Publication . Article . 2021Open Access FrenchAuthors:Lambert, Anne; Girard, Violaine; Guéraut, Elie; Le Roux, Guillaume; Bonvalet, Catherine;Lambert, Anne; Girard, Violaine; Guéraut, Elie; Le Roux, Guillaume; Bonvalet, Catherine;Publisher: HAL CCSDCountry: France
Le confinement décrété, en France, en mars 2020 pour faire face à l’épidémie de Covid-19 a brutalement renforcé le rôle du logement dans le déroulement de la vie quotidienne. Cet article analyse les conditions matérielles dans lesquelles s’est déroulé le confinement et la manière dont les logiques d’assignation domestique se sont recomposées pendant cette période en fonction du sexe, de la structure familiale et du milieu social. L’enquête Coconel (Coronavirus et confinement : enquête longitudinale) « Logement et conditions de vie », représentative de la population française, et une série de 21 portraits sociologiques collectés dans différents milieux sociaux montrent ainsi que, si le couple apparaît sur certains plans protecteur face à la crise, la présence d’enfants augmente systématiquement le risque de connaître des difficultés matérielles et subjectives et accentue les écarts de genre, et ce, quel que soit le milieu social. Les mères connaissent en confinement une situation d’enfermement domestique plus prononcée que les pères : à l’intérieur du domicile, elles bénéficient moins souvent d’espace personnel pour leurs loisirs, leur travail ou leurs activités propres. Elles sortent aussi moins souvent du domicile en journée, quel que soit le motif. The lockdown that was implemented in France in March 2020 to deal with the covid-19 epidemic brutally reinforced the role of housing in the course of daily life. This article analyses the material and spatial conditions under which the lockdown took place and how the assignment to the domestic sphere was reconstituted according to gender, family structure and social class during this period. To do so, the authors use the Coconel-Housing and Living Conditions survey, which is representative of the French adult population, and a series of 21 sociological portraits carried out in different social settings. While living as a couple tends to protect individuals against some negative effects of the crisis, having children systematically increases the risk of experiencing financial and personal difficulties and expands the gender gap, whatever the social class. Mothers appeared to be trapped in the domestic sphere: inside the home, they are less likely than men to benefit from personal space and to have personal time for their leisure, work or activities. They also leave their dwelling less often during the day, regardless of the reason.
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Travail du groupe de modélisation de l'équipe ETE
- Publication . Conference object . 2021FrenchAuthors:Nathalie Gardes; Pascal Frucquet; David Carassus; Didier Chabaud; Pierre Marin;Nathalie Gardes; Pascal Frucquet; David Carassus; Didier Chabaud; Pierre Marin;Publisher: HAL CCSD
International audience; Si de premières expériences ont pu être identifiées dans les dernières décennies du XXème siècle, leconcept de Smart City ou « Ville Intelligente » en français s’est particulièrement développé à partir desannées 2000, notamment à la faveur d’initiatives portées par de grands industriels comme IBM ou Cisco(Sharifi et al. 2021). La rapide diffusion de ce concept dans le monde s’explique notamment par larecherche de solutions aux défis de l’urbanisation croissante, du changement climatique et de lararéfaction des ressources. L’intelligence de la Ville, entendue au sens de la cité grecque (« polis »), sesituerait ainsi dans sa capacité à anticiper, accompagner et résoudre les problèmes de sécurité,d’infrastructures et de transport, d’éclairage urbain, d’arrosage des parcs et jardins, de lien social, dedurabilité, de santé, etc. (Agbali et al., 2019 ; Azevedo et al., 2018 ; Mosannenzadeh et Vettorato, 2014).Les recherches sur cette thématique et les projets de Villes Intelligentes ou de Territoires Intelligents sesont multipliés, notamment depuis 2015 (Sharifi et al., 2021). La pandémie de COVID-19 a impulsé unélan supplémentaire en faveur des solutions urbaines intelligentes pour améliorer la résilience face à lacrise. Deux grandes approches de la Smart City co-existent (Picon, 2015) : celle centrée surl’optimisation des fonctions urbaines par le recours massif aux technologies numériques, et celle centréesur une mobilisation de ces technologies pour favoriser la production et le partage des connaissances auservice d’une amélioration de la qualité de vie, d’un développement du capital humain (Nam et Pardo,2011). Nos travaux se situent ainsi à l’interface entre ces deux approches en se centrant sur le bâtimentque nous proposons de considérer comme un sous-système de la ville et un de ses éléments constitutifsde base. Le bâtiment est en effet à la fois infrastructure et cadre de vie, autonome et intégré dans unécosystème urbain et territorial. Les bâtiments sont responsables de 40 % de la consommation totaled'énergie en Europe et de 24% des émissions de gaz à effet de serre. Leur performance énergétique estun élément déterminant de la qualité de vie et de travail de tous les citoyens (Apanaviciene et al., 2020).Le télétravail, le maintien à domicile, l’optimisation énergétique, la qualité de l’air, etc. passent par lesbâtiments. L’enjeu est donc fort. Pour être durable et intelligent au niveau des villes, il faudrait l’être auniveau des bâtiments.Pourtant, peu d’études existent sur les relations entre Smart Building et Smart City et la pertinence deconsidérer le bâtiment comme premier maillon de la Smart City. La littérature sur les Smart Buildingsou « Bâtiments Intelligents » est essentiellement consacrées aux enjeux en termes de technologies etd’usages des deux grandes technologies que sont le Building Information Modeling (BIM) et l’Internetdes objets (IoT, pour Internet of Things selon la terminologie Anglo-Saxonne). Le BIM recense dans unenvironnement numérique partagé, assorti de modalités de restitution en trois dimensions (3D) voireplus (4D, 5D, 6D, etc.) tous les « objets » du bâtiment au sens large, mais aussi les modalitésd’interventions des différentes acteurs du projet, à toutes les étapes de son cycle de vie (Emmerich,22020). L’Internet des objets (IoT, pour Internet of Things selon la terminologie Anglo-Saxonne), eninterconnectant différents dispositifs dotés de capteurs, apparaît comme une condition préalablefondamentale pour parvenir à la réalisation de bâtiments intelligents (Fokaides et al., 2018 ; Malagninoet al., 2021 ; Jia et al., 2019). Les objets connectés génèrent en effet une quantité importante de donnéesqui va permettre de créer de l’intelligence à l’échelle du bâtiment (contrôle et gestion des performancesénergétiques) puis d’un quartier (optimisation des lignes de bus en fonction de la fréquentation parexemple). Utilisées de façon stratégique ces données pourraient changer les façons de produire, deconsommer et d’habiter la ville.Dans ce sens, plusieurs entreprises ont lancé des solutions de bâtiments intelligents (IBM, Intel,Schneider notamment). Pour autant, en France comme en Europe, la mise en œuvre du BIM parmi lesacteurs industriels européens reste limitée. En Europe, 29 % des entreprises de construction utilisent leBIM 3D tandis que 61 % ne l'ont jamais utilisé. Les chiffres s'aggravent en ce qui concerne le BIM 4D,avec seulement 6 % des entreprises qui l'appliquent (European Construction Sector Observatory 2019).Ainsi, alors que la capacité des technologies numériques à changer et à améliorer la vie des gens(Feenberg, 2019 ; Sadowski, 2020) et leur potentiel à fournir un environnement bâti intelligent et durableaux citoyens a été démontrée, comment comprendre la faible adoption du BIM et des BâtimentsIntelligents ? Les réalités spécifiques au secteur (production artisanale, unicité des projets), lacomplexité de l’industrie de la construction (Joensuu et al., 2020) et des difficultés propres à l’adoptiondes technologies IoT (Pal et al., 2021 ; Yang et al., 2017) font probablement partie des facteursexplicatifs de la faible transition numérique. En fait, peu de recherches se sont intéressées à l’adoptiondu BIM et de l’IoT dans le secteur du bâtiment. Il existe peu d’études qui adressent les problématiquesmanagériales et organisationnelles auxquelles les acteurs sont confrontés.Notre intention à travers cette recherche est ainsi de comprendre comment favoriser l’adoption deces solutions technologiques pour contribuer au développement des bâtiments intelligents, dansune dynamique d’intégration et d’interaction avec les Villes et les Territoires Intelligents ? Quelssont les facteurs limitatifs au déploiement de ces solutions ? La question doit-elle être traitée uniquementau niveau des acteurs de la filière Bâtiment et Travaux Publics (BTP) ou intégrer la vision des clients etdes autorités publiques ? Comment ces dernières (Etat, Centres Hospitaliers, Collectivités territoriales)peuvent-elle contribuer à favoriser l’adoption des solutions BIM / IOT au service de bâtimentsintelligents ?Pour répondre à ces questions, nous avons d’abord procédé à une revue de la littérature relative auxBâtiments Intelligents et à leur intégration dans les Villes Intelligentes afin de proposer un modèle derecherche exploratoire (1). Ensuite, comme nous le présentons en seconde partie (2), nous avons procédéà une étude qualitative exploratoire permettant de mettre en évidence de premiers résultats et de précisernotre modèle de recherche.
- Publication . Master thesis . 2021FrenchAuthors:Laboue, Julien;Laboue, Julien;Publisher: HAL CCSDCountry: France
Contexte : la campagne de vaccination contre le COVID 19 a généré beaucoup d’angoisses dans notre société. La France possédait avant la crise sanitaire le plus haut taux de vaccino-sceptique au monde. A cause d’un manque initial de doses, les personnes de plus de 75 ans ont été désigné prioritaires pour la vaccination. Objectif : analyser le vécu, les représentations et la perception de la vaccination COVID par le sujet âgé vacciné. Méthode : une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été menée auprès de patients âgés vaccinés au centre gérontologique départemental. Les données ont été retranscrites puis une analyse du verbatim a permis l’émergence de thème et de sous-thèmes. Résultats : les résultats ont montré que le médecin traitant restait un interlocuteur de choix dans l’information et la prise de décision de se vacciner. Les répondants ne s’estimaient pas forcément prioritaires à la vaccination, car peu actifs dans la chaine de transmission. Leurs motivations peuvent se diviser en deux catégories opposées mais indissociables, les motivations « égoïstes », personnelles et les motivations « altruistes » collectives. Dans ce groupe social, la vaccination de masse apparait comme une évidence et devrait être rendue obligatoire.Conclusion : cette étude montre, que les sujets âgés ne sont pas réfractaires à la vaccination. Ils se tiennent informer sur le sujet, même si le médecin traitant reste un conseille de choix. La vaccination de masse est pour eux, la solution pour sortir de la crise sanitaire.
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- Publication . Article . Other literature type . 2021FrenchAuthors:Idot, Laurence;Idot, Laurence;Publisher: HAL CCSDCountry: France
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- Publication . Other literature type . Part of book or chapter of book . 2021FrenchAuthors:George, Rouamba;George, Rouamba;Publisher: HAL CCSD
Que nous révèle la forte mortalité des personnes âgées de plus de 60 ans sur les valeurs du système de santé du Burkina Faso ?À partir de données ethnographiques collectées dans le service de cardiologie du Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouédraogo(CHU-YO) au Burkina Faso et une enquête mixte réalisée au cours de la pandémie de la COVID-19, cet article se propose de discuter des valeurs et des principes censés caractériser le système de santé. Cette discussion interroge en miroir la place de la personne vieillissante dans l’offre de soins de manière générale dans un système de santé dont les cultures professionnelles sont structurées autour de la santé de la mère et de l’enfant. Paradoxalement sur le plan politique, tout en reconnaissant la vulnérabilité des plus âgés, très peu d’actions spécifiques sont orientées à leur endroit. Toutefois, pour les besoins de recherche sur la COVID-19,les personnes âgées deviennent des cas intéressants qui mobilisent la recherche clinique. L’éthique des soins interroge en définitive les responsabilités des différents acteurs dans une perspectivede repenser la santé comme un bien commun.Mots clés : mortalité ; personne âgée ; éthique ; bien commun ;responsabilité ; Burkina Faso. What does the high mortality of people over 60 years of age tell us about the values of the health system in Burkina Faso? Based on ethnographic data collected in the cardiology department of the Universitary Hospital Yalgado Ouédraogo (CHU-YO) in BurkinaFaso and a mixed survey carried out during the COVID-19 pandemic, this article proposes to discuss the values and principlesthat are supposed to characterize the health system. This discussion questions the place of the ageing person in the provision ofcare in a general way in a health system whose professional cultures are structured around the health of the mother and child. Paradoxically,at the political level, while recognizing the vulnerability of the elderly, very few specific actions are directed towards them.However, for the purposes of research on COVID-19, the elderly become interesting cases that mobilize clinical research. The ethicsof care ultimately questions the responsibilities of the different actors in a perspective of rethinking health as a common good.Keywords: mortality; elderly; ethics; common good; responsibility; Burkina Faso.
- Publication . Part of book or chapter of book . 2021FrenchAuthors:Sylvie Ayimpam; Michel Bisa Kibul; Jacky Bouju; André Lisongomi Batibonda;Sylvie Ayimpam; Michel Bisa Kibul; Jacky Bouju; André Lisongomi Batibonda;Publisher: HAL CCSDCountry: France
International audience; Cette contribution a pour objet les pouvoirs publics en action dans le contexte de la pandémie de COVID-19 en Afrique. Les mesures de lutte contre la propagation de la pandémie ont provoqué un choc économique majeur partout dans le monde, avec une crise dont les effets risquent de se faire sentir encore pendant très longtemps. Il s’agit concrètement d’interroger la manière dont différents acteurs étatiques (ou non étatiques) se sont emparés des problèmes liés à la crise sanitaire et à ses conséquences économiques, les ont définis comme publics et la manière dont ils ont agi pour y répondre. En s’inscrivant dans la perspective des travaux sur l’action publique en Afrique, qui envisagent les rapports entre les différents acteurs dans la définition et la mise en place de réponses à des problèmes publics ou collectifs, l’objectif est de mettre en lumière les formes spécifiques d’actions publiques menées dans le contexte de la crise sanitaire au Congo qui, comme dans les autres contextes africains, sont généralement porteuses de dynamiques sociales et politiques originales. Les réponses formulées par les pouvoirs publics aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire seront analysées, pendant la période de l’état d’urgence sanitaire décrété lors de la première vague de la pandémie de COVID-19, du mois de mars au mois de juillet 2020. Un regard particulier sera également porté sur les réponses apportées à l’économie informelle, dont les travailleurs sont généralement caractérisés par une précarité et une vulnérabilité socioéconomiques très marquées.
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- Publication . Preprint . 2021FrenchAuthors:Mondello, Gérard;Mondello, Gérard;Publisher: HAL CCSDCountry: France
La pandémie de Covid-19 a bouleversé non seulement l'économie de la plupart des pays, mais aussi le domaine scientifique médical. Les opinions publiques se sont immiscées dans les choix des essais thérapeutiques comme le montrent les controverses autour des protocoles utilisant l'hydroxychloroquine. Le choix du public pour ces traitements est expliqué comme l'application d'un "pari de Pascal". Cet article analyse la formation du système de croyance des individus en appliquant la théorie de l'ambiguïté et la théorie de l'entropie d'information. Il montre que les choix du public sont le fruit de stratégies communication choisies par les promoteurs de tel ou tel traitement.
- Publication . Article . 2021FrenchAuthors:Anna C. Zielinska;Anna C. Zielinska;Publisher: HAL CCSD
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Le confinement décrété, en France, en mars 2020 pour faire face à l’épidémie de Covid-19 a brutalement renforcé le rôle du logement dans le déroulement de la vie quotidienne. Cet article analyse les conditions matérielles dans lesquelles s’est déroulé le confinement et la manière dont les logiques d’assignation domestique se sont recomposées pendant cette période en fonction du sexe, de la structure familiale et du milieu social. L’enquête Coconel (Coronavirus et confinement : enquête longitudinale) « Logement et conditions de vie », représentative de la population française, et une série de 21 portraits sociologiques collectés dans différents milieux sociaux montrent ainsi que, si le couple apparaît sur certains plans protecteur face à la crise, la présence d’enfants augmente systématiquement le risque de connaître des difficultés matérielles et subjectives et accentue les écarts de genre, et ce, quel que soit le milieu social. Les mères connaissent en confinement une situation d’enfermement domestique plus prononcée que les pères : à l’intérieur du domicile, elles bénéficient moins souvent d’espace personnel pour leurs loisirs, leur travail ou leurs activités propres. Elles sortent aussi moins souvent du domicile en journée, quel que soit le motif. The lockdown that was implemented in France in March 2020 to deal with the covid-19 epidemic brutally reinforced the role of housing in the course of daily life. This article analyses the material and spatial conditions under which the lockdown took place and how the assignment to the domestic sphere was reconstituted according to gender, family structure and social class during this period. To do so, the authors use the Coconel-Housing and Living Conditions survey, which is representative of the French adult population, and a series of 21 sociological portraits carried out in different social settings. While living as a couple tends to protect individuals against some negative effects of the crisis, having children systematically increases the risk of experiencing financial and personal difficulties and expands the gender gap, whatever the social class. Mothers appeared to be trapped in the domestic sphere: inside the home, they are less likely than men to benefit from personal space and to have personal time for their leisure, work or activities. They also leave their dwelling less often during the day, regardless of the reason.
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Travail du groupe de modélisation de l'équipe ETE
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International audience; Si de premières expériences ont pu être identifiées dans les dernières décennies du XXème siècle, leconcept de Smart City ou « Ville Intelligente » en français s’est particulièrement développé à partir desannées 2000, notamment à la faveur d’initiatives portées par de grands industriels comme IBM ou Cisco(Sharifi et al. 2021). La rapide diffusion de ce concept dans le monde s’explique notamment par larecherche de solutions aux défis de l’urbanisation croissante, du changement climatique et de lararéfaction des ressources. L’intelligence de la Ville, entendue au sens de la cité grecque (« polis »), sesituerait ainsi dans sa capacité à anticiper, accompagner et résoudre les problèmes de sécurité,d’infrastructures et de transport, d’éclairage urbain, d’arrosage des parcs et jardins, de lien social, dedurabilité, de santé, etc. (Agbali et al., 2019 ; Azevedo et al., 2018 ; Mosannenzadeh et Vettorato, 2014).Les recherches sur cette thématique et les projets de Villes Intelligentes ou de Territoires Intelligents sesont multipliés, notamment depuis 2015 (Sharifi et al., 2021). La pandémie de COVID-19 a impulsé unélan supplémentaire en faveur des solutions urbaines intelligentes pour améliorer la résilience face à lacrise. Deux grandes approches de la Smart City co-existent (Picon, 2015) : celle centrée surl’optimisation des fonctions urbaines par le recours massif aux technologies numériques, et celle centréesur une mobilisation de ces technologies pour favoriser la production et le partage des connaissances auservice d’une amélioration de la qualité de vie, d’un développement du capital humain (Nam et Pardo,2011). Nos travaux se situent ainsi à l’interface entre ces deux approches en se centrant sur le bâtimentque nous proposons de considérer comme un sous-système de la ville et un de ses éléments constitutifsde base. Le bâtiment est en effet à la fois infrastructure et cadre de vie, autonome et intégré dans unécosystème urbain et territorial. Les bâtiments sont responsables de 40 % de la consommation totaled'énergie en Europe et de 24% des émissions de gaz à effet de serre. Leur performance énergétique estun élément déterminant de la qualité de vie et de travail de tous les citoyens (Apanaviciene et al., 2020).Le télétravail, le maintien à domicile, l’optimisation énergétique, la qualité de l’air, etc. passent par lesbâtiments. L’enjeu est donc fort. Pour être durable et intelligent au niveau des villes, il faudrait l’être auniveau des bâtiments.Pourtant, peu d’études existent sur les relations entre Smart Building et Smart City et la pertinence deconsidérer le bâtiment comme premier maillon de la Smart City. La littérature sur les Smart Buildingsou « Bâtiments Intelligents » est essentiellement consacrées aux enjeux en termes de technologies etd’usages des deux grandes technologies que sont le Building Information Modeling (BIM) et l’Internetdes objets (IoT, pour Internet of Things selon la terminologie Anglo-Saxonne). Le BIM recense dans unenvironnement numérique partagé, assorti de modalités de restitution en trois dimensions (3D) voireplus (4D, 5D, 6D, etc.) tous les « objets » du bâtiment au sens large, mais aussi les modalitésd’interventions des différentes acteurs du projet, à toutes les étapes de son cycle de vie (Emmerich,22020). L’Internet des objets (IoT, pour Internet of Things selon la terminologie Anglo-Saxonne), eninterconnectant différents dispositifs dotés de capteurs, apparaît comme une condition préalablefondamentale pour parvenir à la réalisation de bâtiments intelligents (Fokaides et al., 2018 ; Malagninoet al., 2021 ; Jia et al., 2019). Les objets connectés génèrent en effet une quantité importante de donnéesqui va permettre de créer de l’intelligence à l’échelle du bâtiment (contrôle et gestion des performancesénergétiques) puis d’un quartier (optimisation des lignes de bus en fonction de la fréquentation parexemple). Utilisées de façon stratégique ces données pourraient changer les façons de produire, deconsommer et d’habiter la ville.Dans ce sens, plusieurs entreprises ont lancé des solutions de bâtiments intelligents (IBM, Intel,Schneider notamment). Pour autant, en France comme en Europe, la mise en œuvre du BIM parmi lesacteurs industriels européens reste limitée. En Europe, 29 % des entreprises de construction utilisent leBIM 3D tandis que 61 % ne l'ont jamais utilisé. Les chiffres s'aggravent en ce qui concerne le BIM 4D,avec seulement 6 % des entreprises qui l'appliquent (European Construction Sector Observatory 2019).Ainsi, alors que la capacité des technologies numériques à changer et à améliorer la vie des gens(Feenberg, 2019 ; Sadowski, 2020) et leur potentiel à fournir un environnement bâti intelligent et durableaux citoyens a été démontrée, comment comprendre la faible adoption du BIM et des BâtimentsIntelligents ? Les réalités spécifiques au secteur (production artisanale, unicité des projets), lacomplexité de l’industrie de la construction (Joensuu et al., 2020) et des difficultés propres à l’adoptiondes technologies IoT (Pal et al., 2021 ; Yang et al., 2017) font probablement partie des facteursexplicatifs de la faible transition numérique. En fait, peu de recherches se sont intéressées à l’adoptiondu BIM et de l’IoT dans le secteur du bâtiment. Il existe peu d’études qui adressent les problématiquesmanagériales et organisationnelles auxquelles les acteurs sont confrontés.Notre intention à travers cette recherche est ainsi de comprendre comment favoriser l’adoption deces solutions technologiques pour contribuer au développement des bâtiments intelligents, dansune dynamique d’intégration et d’interaction avec les Villes et les Territoires Intelligents ? Quelssont les facteurs limitatifs au déploiement de ces solutions ? La question doit-elle être traitée uniquementau niveau des acteurs de la filière Bâtiment et Travaux Publics (BTP) ou intégrer la vision des clients etdes autorités publiques ? Comment ces dernières (Etat, Centres Hospitaliers, Collectivités territoriales)peuvent-elle contribuer à favoriser l’adoption des solutions BIM / IOT au service de bâtimentsintelligents ?Pour répondre à ces questions, nous avons d’abord procédé à une revue de la littérature relative auxBâtiments Intelligents et à leur intégration dans les Villes Intelligentes afin de proposer un modèle derecherche exploratoire (1). Ensuite, comme nous le présentons en seconde partie (2), nous avons procédéà une étude qualitative exploratoire permettant de mettre en évidence de premiers résultats et de précisernotre modèle de recherche.
- Publication . Master thesis . 2021FrenchAuthors:Laboue, Julien;Laboue, Julien;Publisher: HAL CCSDCountry: France
Contexte : la campagne de vaccination contre le COVID 19 a généré beaucoup d’angoisses dans notre société. La France possédait avant la crise sanitaire le plus haut taux de vaccino-sceptique au monde. A cause d’un manque initial de doses, les personnes de plus de 75 ans ont été désigné prioritaires pour la vaccination. Objectif : analyser le vécu, les représentations et la perception de la vaccination COVID par le sujet âgé vacciné. Méthode : une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été menée auprès de patients âgés vaccinés au centre gérontologique départemental. Les données ont été retranscrites puis une analyse du verbatim a permis l’émergence de thème et de sous-thèmes. Résultats : les résultats ont montré que le médecin traitant restait un interlocuteur de choix dans l’information et la prise de décision de se vacciner. Les répondants ne s’estimaient pas forcément prioritaires à la vaccination, car peu actifs dans la chaine de transmission. Leurs motivations peuvent se diviser en deux catégories opposées mais indissociables, les motivations « égoïstes », personnelles et les motivations « altruistes » collectives. Dans ce groupe social, la vaccination de masse apparait comme une évidence et devrait être rendue obligatoire.Conclusion : cette étude montre, que les sujets âgés ne sont pas réfractaires à la vaccination. Ils se tiennent informer sur le sujet, même si le médecin traitant reste un conseille de choix. La vaccination de masse est pour eux, la solution pour sortir de la crise sanitaire.